Le "Dictionnaire amoureux de la Belgique" : cette nouvelle "brique" dans le ventre des Belges compte près de 800 pages on ne peut plus digestes. Chaque entrée témoigne de l’amour de son auteur - le romancier Jean-Baptiste Baronian - pour ce pays bizarre, confetti trilingue et international. C’est un des dictionnaires les plus allègres de la collection créée et dirigée par Jean Claude Simoën chez Plon et dont chaque volume ravit un public aussi curieux qu’enthousiaste. Gageons que ce dernier volume en date (on nous annonce déjà un fastueux "Dictionnaire amoureux du Théâtre" ) trouvera lui aussi des dizaines de milliers de lecteurs (amis de France vous allez mieux comprendre ce qui fait vraiment de ce pays un paradis...).
Nous avons rencontré à Bruxelles Jean-Baptiste Baronian et Jean-Claude Simoën
Edmond Morrel le 24 septembre 2015
Pour les curieux, nous avions déjà réalisé plusieurs interviews sur les "Dictionnaires amoureux". ces interviews sont toujours accessibles sur espace-livres, bien sûr ! :
Le dictionnaire amoureux de....
des dictionnaires » :
Proust :
De la Chine :
Des faits –divers :
De l’humour :
De la politique :
Des langues :
De la bible :
De Napoléon :
Du cheval :
Du Mexique :
Et nous avions rencontré une première fois Jean-Claude Simoen en 2012 :
La Belgique en 250 entrées, soit autant de déclinaisons très sentimentales d’un pays souverainement sans pareil.
Célèbres et adulés, moins connus et même oubliés, en pleine lumière ou discrètement restés dans l’ombre, les voilà ces Belges qui rendent amoureux de la Belgique.
Laissez-vous séduire par le vagabondage de Jean-Baptiste Baronian, il vous emmènera d’un peintre à un paysage, d’un écrivain à une ville, d’une salle de concert à une épopée sportive, d’une étape gastronomique à un musée, d’une loufoquerie à un émerveillement.
Il est érudit, passionné, sentimental, et nous raconte sa Belgique, en nous conviant à un défilé très subjectif, carnavalesque et joyeux, d’hommes et de femmes qui font la particularité et la fierté de ce peuple.
De René Magritte à Georges Simenon, de Jacques Brel à Simon Leys, de Hergé à Eddy Merckx... c’est festif, truculent, bouleversant, inattendu et surréaliste, mais c’est surtout belge.