De Yann Kerlau on connaissait trois livres, des essais consacrés à des figures de l’Histoire comme Cromwell ou les Aga Khan). On découvre avec bonheur que ces livres annonçaient un romancier.
Il a choisi un personnage fascinant, romanesque en diable pour ce premier opus de plus de 600 pages qui se lit comme du Dumas ou du Follett.
On sait que le roman est la porte d’accès royale vers l’Histoire : ce livre en fait une démonstration éclatante.
Attention ! Prévoyez de ne plus rien pouvoir faire d’autre pendant les quatre heures qui suivront la lecture de la première ligne de ce roman : vous ne le lâcherez pas !!
Edmond Morrel