Extraits de contes
Les contes sont un genre littéraire particulièrement adapté à la radio. Cette littérature de l’oralité passionne le public qui a l’occasion d’assister à des représentations que l’on peut trouver dans le cadre de festivals, comme celui de Chiny ou de Montréal. Edmond Morrel se rend, micro ouvert, dans ces lieux où les histoires se donnent à entendre.
S'abonner au flux rss / podcast de Extraits de contesA Montréal lors du 13 ème Festival interculturel du Conte (FICQ) nous avons rencontré Marc Laberge : photographe-aventurier, ethnographe et écrivain québécois, voyageur et conférencier du monde dont il est le piéton infatigable, créateur du FICQ en 1993, avocat intarissable de l’intericulturalité et aussi, ne l’oublions pas : conteur ! L’occasion était belle de parcourir avec lui les chemins de sa vocation, dont il nous évoque avec verve chacun des détours pour achever l’entretien avec une magistrale "master Class" consacrée aux collectes de récits de vie... Une interview qui ressemble diablement à un conte !
On ne peut sortir d’une rencontre avec l’historien alsacien Gérard Leser que stimulé par l’érudition souriante de cet universitaire malicieux, profond et philosophe. Il pourrait être sorti d’une légende dans laquelle il serait un Merlin savant et enchanteur. Rien de ce qu’il dit n’est formulé à la légère et il nous donne une irremplaçable réflexion sur la fonction, les origines, le sens des contes apparus en même temps que l’humanité...
Michel Hindenoch, dès qu’il entre en scène, vous hypnotise. Il installe un pupitre haut et mince comme lui, une flûte de pan et un instrument à cordes y sont fixés. Le silence se fait. Une note longue s’enroule dans le faisceau du projecteur. Michel Hindenoch est penché sur l’instrument à vent. Il se redresse ensuite, les doigts courent sur les cordes et la voix commence sa mélopée... Nous avons rencontré ce poète qui dit des contes qu’ils sont "le grand miroir de l’homme"...
Si vous ne savez pas ce que signifie le mot "podorythmie" , écoutez cette interview menée harmonica battant avec un de ses représentants haut en couleur et en verve : Alain Lamontagne, intarissable conteur de son état, musicien, un des artisans du renouveau du conte. A entendre l’énergie qu’il développe avec deux harmonicas (il en possède des dizaines !), on ne craint plus pour l’avenir du conte. Si vous voyez son nom apparaître sur l’affiche d’un récital de contes, précipitez-vous : vous en aurez les oreilles enchantées !
Lorsqu’on le croise dans un festival de contes, comme celui de Montréal où nous l’avons interviewé, il est difficile de ne pas être heureusement contaminé par la passion que Pascal Dubois manifeste à propos de son métier : éditeur de conteurs. Son enseigne, au nom éloquent : "Oui’Dire" réunit un des catalogues les plus diversifiés, riches et exaltants de littérature orale. Nous l’avons rencontré à Montréal pour qu’il nous en dise davantage...
Musicien, acteur, cycliste...mais avant tout conteur, Stéphane Guertin nous a donné à entendre, entre autres histoires, "Le loup de Lafontaine" qui lui a valu d’être médaillé d’or aux 7èmes Jeux de la Francophonie. Cette récompense ne lui est pas montée à la tête : un spectacle de conte se ré-invente chaque soir... Tout peut arriver comme, par exemple, un accessoire qui échappe des mains de l’artiste et s’envole dans les airs pour atterrir dans les antiques fondations de la ville de Montréal. Mésaventure survenue à Guertin lors d’une représentation au musée de la Ville de Montréal...
Quand on lui demande comment lui est venue la vocation de conteur, Achille Grimaud commence aux débuts, comme s’il s’inventait une histoire : "Je travaillais dans les abattoirs..." Il a inventé le beau néologisme d’"histoirien" pour désigner a fonction, son emploi dirait-on au théâtre. Mais on n’est pas au théâtre... Dans la planète Conte, règne seule l’Histoire...
Nous sommes allé à la rencontre d’Achille Grimaud entre deux spectacles qu’il donne à Montréal...
Un des privilèges qui échoit à celui qui assiste au Festival Interculturel du Conte est à n’en pas douter de pouvoir faire des rencontres hors-normes. Il en va ainsi de certaines personnalités attachantes et originales, irradiant d’énergie et de verve, mais aussi engagés dans la réalité dont le rêve, la fantaisie, la magie du conte se font l’écho attentif.
Adama Adepoju est de ceux-là. Nous l’avons rencontré entre deux prestations à Montréal.
La 13 ème édition du Festival Interculturel du Conte du Québec, sous l’impulsion de Stéphanie Bénéteau, s’ouvre aux conteurs anglophones. Comme l’indique la nouvelle directrice du Festival : "l’interculturalisme commence chez soi". L’occasion était belle de rencontrer un des plus ardents animateurs du conte : Dan Yashinsky, fondateur du Toronto Festival of Storytelling (qu’il a créé en 1979), conteur, professeur, infatigable piéton de la planète du conte qu’il a parcourue de festival en festival du Brésil à Singapour, d’Israël au pays de Galles. Pour en savoir davantage, plongez-vous dans le livre qu’il consacre au conte sous le titre emblématique : "Suddenly, they heard footsteps - storytelling for the 21 st Century".
S’il est un territoire, en Europe francophone, que l’on associe aux contes et légendes c’est bien la Bretagne. Jean-Marc Derouen entrelace dans son répertoire la tradition de ces récits patrimoniaux et la modernité dans la manière qu’il a de leur rendre vie par l’humour et la faconde.
Stéphanie Bénéteau a accepté il y a un an et demi de succéder - à la demande de celui-ci - à Marc Laberge, fondateur et directeur d’un des plus prestigieux festivals internationaux du conte. Au lendemain de la "Grande Nuit du conte" qui inaugure depuis 1997 cette manifestation, le public était unanime : la relève est bel et bien assurée. Nous suivrons ce Festival et, au fil des jours, mettrons en ligne des rencontres avec ces conteurs venus de l’espace francophone. Innovation de cette nouvelle édition : le conte anglophone est revenu au sein du Festival avec des conteurs aussi prestigieux que Dan Yashinsky, Ron Evans, Brian Katz et Marta Singh entre autres. Nous ne manquerons pas d’aller à leur rencontre. Mais, pour démarrer cette série, nous vous proposons d’écouter la nouvelle directrice du Festival, à l’énergie aussi inaltérable que son enthousiasme est communicatif. Attention : vous allez entrer dans une planète hors du temps et de l’espace, celle du conte.
L’univers de Nicolas Stutzmann s’inscrit dans la galaxie souriante de la poésie magique. La magicien gonfle sans relâche des ballons qu’il sculpte pour en faire une faune éphémère allant de petits chiens aux poissons rouges en passant par tout un bestiaire aussi coloré que fantaisiste. Le poète joue avec les mots dont il adore entrechoquer les sens, enlacer la musique et improviser les enchaînements.
De cela, il fait un spectacle qui hypnotise les enfants , ses partenaires privilégiés dans le public, ou leurs parents, piégés par les apprentissages enjôleurs auxquels l’artiste les invite. Nous sommes allés à la rencontre de cet homme hors du commun pendant le récent festival du conte de Chiny.
A découvrir ce qu’il nous confie de sa vie passée, on devine mieux la signification du mot "résilience". Mais n’est-ce pas une des fonctions de l’art : nous donner une deuxième chance, nous offrir une deuxième vie.
Je vous invité à écouter cette rencontre avec un homme dont la sensibilité à fleur de peau perce souvent sous le voile.
Du 10 au 12 juillet 2015 prenez le chemin de Chiny et venez y écouter la sélection de contes effectuée par Benjamin Roiseux , directeur du festival, pour cette 26 ème édition. Impossible d’en détailler ici le florilège des textes destinés aux enfants, aux adultes et aux familles, mais, pour vous donner l’envie d’y aller voir et entendre, nous avons rencontré Benjamin Roiseux et Marie-Christine Schmitz (membre du comité de programmation) qui entr’ouvent pour nous les portes de Chiny...
Les histoires inscrites dans la réalité de l’Histoire que nous transmet Guth Des Prez sont sans doute la meilleure manière de dire l’indicible, celui d’il y’a cent ans, mais aussi celui né de toutes les guerres, y compris de celles qu’i l a lui-même traversées.
Avec sa Compagnie théâtrale Mun-Nana, Mariam Koné restitue au conte traditionnel ses multiples fonctions : transmission des valeurs culturelles et morales, sensibilisation aux problème de société et apprentissage des langues et de l’expression. Avec la complicité d’autres conteurs et de responsables du milieu éducatif, elle recueille des contes, les valorise, les raconte, les fait ré-écrire par des enfants en milieu scolaire et, parfois, les fait publier sous forme de petits livres qui deviennent à leur tour des courroies de transmission. Nous avons rencontré cette personnalité hors du commun en marge du Festival interculturel du conte à Montréal où elle avait été invitée par Marc Laberge.
Jocelyn Bérubé, figure de proue du conte au Québec, vient de publier chez l’éditrice "Planète rebelle" un livre-cd réunissant des contes inédits qu’il a réécrits et mis en musique. Un livre qui trouve sa juste place dans la collection "Paroles" en nous donnant cette "randonnée contée" avec "au passage des cris d’oiseaux du large ou du rivage". A lire et à écouter. Lors de l’entretien, nous évoquons avec Jocelyn Bérubé le précdent livre publié chez "Planète Rebelle" : Alexis le Trotteur, un conte illustré par Guth Des Prez.
Venu de Bretagne, nourri de musique et de légendes d’Ecosse, d’Irlande et d’ailleurs, Patrik Ewen est devenu conteur par la force des choses : d’une chanson de deux minutes il faisait toute une histoire...
Jacques Combe se présente comme un « artisan-brocanteur-orpailleur d’histoires ». Il collecte des récits de vie, il anime des formations, il donne à rêver, à entendre, à comprendre.
Fatima-Zarah Salih nous parle du travail mené par le Centre International de Recherches sur les Arts de la Parole (LE CAP) et par l’Université Sultan Molay Slimane de Beni Mellal pour préserver et valoriser la tradition orale de cette région du coeur du Maroc.
Pour certains, l’art semble indissocié du mode de vie et de la façon d’être au monde. La sincérité et l’authenticité de l’homme se confond avec celle de l’artiste. C’est le cas pour le conteur québecois Simon Gauthier...
C’est au sens propre et figuré un homme de lettres. Au fil de ses tournées de facteur, Pierre Labrèche recueille des récits de vie qu’il adapte et raconte.
Le Festival internacional de la narracion oral est entre de bonnes mains puisqu’il s’agit de celles d’un écrivain, engagé, salué par Manuel Vasquez Montalban...Excusez du peu !
Maurice Vaney, derrière ses lunettes en réduction, ne se laisse pas facilement apprivoiser par le micro. Il faut faire appel à la Suisse, à Blaise Cendrars et à Jack Kerouac pour qu’il raconte. Et il le fait comme un vrai conteur, qu’il est sans oser (encore) se l’avouer...
Dans la bouche de Jean-Louis Bordier, l’histoire de la naissance du Festival qu’il a créé il y a près de 20 ans devient presque un conte...
Claude Delsol est magicien et conteur. Il est surtout un humaniste souriant, à l’écoute du monde qu’il arpente et éclaire d’une belle lumière. "Un homme de paroles"...
Le romancier Eric Gauthier a conservé de son métier d’informaticien le goût d’ordonner les éléments. Mais, depuis qu’il écrit, c’est pour mieux les propulser dans un imaginaire débridé.
Michel Malinowski n’a pas le temps de dormir. Comme un jongleur chinois qui fait tourner des assiettes au bout de roseaux tournants, il passe d’un projet à l’autre, d’un continent à l’autre...
On dirait un oiseau effrayé de son envol lorsque Lucie Bisson raconte, émue, comment un de ses professeurs lui a donné la confiance qui lui faisait défaut pour donner à écouter et à lire les histoires qu’elle a tant de bonheur à écrire.
Jean-Marc Massie est un militant, de ceux qui écrivent des manifestes, qui revendiquent, qui ne se laissent pas endormir. Mais il écrit aussi des contes et il a peut-être inventé le mythe fondateur de sa ville. Une pure légende urbaine !
Mike Burns joue des langues qu’il parle comme d’instruments de musique. Il maîtrise les harmoniques de l’anglais, du français et, en filigrane de chacune des histoires qu’il conte derrière ses yeux clos, le gaélique de son Irlande ancestrale.
Renée Robitaille est émotion, sincérité, écoute, attention. Ce sont ces ingrédients qui font d’elle à la fois une conteuse envoûtante et un écrivain véritable. Découvrez-la. Toutes affaires cessantes.
En alliant le livre et le CD, les Editions Planète Rebelle offrent au monde du conte de très opportuns prolongements dans un catalogue animé avec passion par Marie Fleurette Beaudoin.
Pour bien comprendre Gilbert Tein, conteur et musicien kanake, il faut connaître de la langue kanake le mot qui est aussi son nom : Kaloonbat. Il nous en dévoile la signification...
Si la parole est constitutive de l’humanité, avec Marc Buléon elle est aussi l’incarnation de l’humanisme essentiel, celui de l’attention à la différence, qu’il décline dans son dernier spectacle "La géométrie des silences" et dans un livre "Toi, l’autre moi".
Oubliez vos idées reçues : avec Christiane Olivier les "chaises longues" ne sont pas synonymes de repos et de calme...C’est de l’énergie à l’état pur !
Le rêve de tout journaliste intéressé au conte est d’interviewer au moins une fois dans sa carrière un farfadet, un troll, un lutin ou toute autre créature prétendûment imaginaire... Avec Sylvain Vigneau, c’est chose presque faite...
La modestie est parfois un vilain défaut. Claudette Lheureux
Le conte ne s’arrête pas aux plages de l’île : le festival madelinien est bel et bien international !
Abonnez-vous à "La Grande Oreille" ! Vous y découvrirez le kaléidoscope qu’est l’univers des contes.
Nelson Michaud nous raconte son parcours d’enseignant puis de conteur et d’organisateur de festival. Un diable d’homme, comme il le narrera dans un conte.
Derrière des petites lunettes rondes, cerclées d’émeraude, pétillent les histoires qu’elle raconte depuis une vingtaine d’années.
Le public est hypnotisé lorsque Bertrand N’Zoutani entre en scène : on dirait que l’artiste est partout à la fois. Il parle, il joue de la musique, il éclate de rire, il nous abasourdit, nous enchante, nous ravit....
Nous avions rencontré déjà l’artiste belgo-kabyle Fahem Abès à Chiny. Il nous raconte ici son inspiration, son travail, l’écriture et la recherche d’histoires à partager.
En 2010, Joan Pawnee Parent publie aux Editions Planète Rebelle le conte "Le voyage de kwé-kwé et Mulgtess". Elle nous parle d’écriture, de métissage, de la fonction du conte. Une belle rencontre.
Métis Mi’kmag, Robert Seven-Crows pourrait être un personnage de conte. Il y serait l’incarnation millénaire de l’engagement, de l’attention à l’autre, à l’ancien et au nouveau, de l’écoute et du respect.
Victor Cova Correa nous raconte le parcours d’un conteur dont la vocation naquit à l’écoute de Temistocles, son grand-père, cordonnier...
Si la belle ville médiévale de Béni Mellal se trouve d’aventure sur l’itinéraire d’un de vos voyages, arrêtez-vous. Les rues bruissent d’ancestrales histoires grâce à Fatima-Zahra Salih.
"À travers mes histoires, je cherche à prendre contact avec mes racines, à perpétuer la mémoire de ceux qui m’ont précédée avec le souci d’ouvrir une fenêtre sur les cultures autochtones d’ici. Je veux mes contes vivants, émouvants et toujours d’actualité parce qu’ils parlent de la nature humaine et de la Nature elle-même."
Isabelle Guignard nous parle de la Maison Daudet, de l’oeuvre littéraire de l’écrivain contemporain de Zola et des Goncourt, mais surtout des activités liées au conte qu’elle organise dans cette maison, lieu d’histoire(s), où elle vit.
Si d’aventure votre chemin croise celui de Kientega Pingdewindé Gérard, arrêtez-vous pour écouter ce grand monsieur qui allie la tradition à la modernité, la mémoire à l’engagement, les valeurs ancestrales et la formation des jeunes de son village au Burkina Faso.
Pascal Dubois nous raconte les enjeux de la maison de disques qu’il a mise en place. Il nous en décrit le modus operandi et l’objectif : travailler "avec" et "pour" les auteurs et les conteurs, au grand bonheur de ceux qui en écoutent les enregistrements.
Nous avons rencontré David Mérour à Montréal où il participe au festival interculturel du Conte. Il nous parle ici de la place du conte en Guyane, et du métissage entre les traditions qui s’y entrelacent venant d’Europe, d’Afrique ou d’Amérique du Sud.
Son CV compte 25 pages…qu’il serait absurde d’essayer de résumer si vce n’est en disant que ce touche à tout explore avec les mots et les notes les mondes imaginaires qu’il ré-invente en nous les contant.
"La plus magistrale vitrine du conte au Québec, pour créer un monde où la diversité de chacun fait la richesse de tous. Un monde fragile comme un oeuf posé sur un fil. Le fil de l’imaginaire" (Marc Laberge)
Parmi les nombreuses définitions que l’on donne du conte, il en est une qui nous semble particulièrement juste : « Le conte, c’est un homme et une chaise ». Daniel Lhomond répond à cette description lapidaire de la magie du spectacle de conte.
On dit de l’Afrique qu’elle est le continent d’origine de l’humanité. C’est peut-être pour cette raison qu’elle regorge de contes et de conteurs…et de conteuses.
Dans les cités des contes, on rencontre des lutins, des fées, des enchanteurs, des magiciens, des enfants, des morrel, mais au détour d’une ruelle, relisant son discours d’inauguration, on peut aussi croiser le chemin allègre et enthousiaste d’un président !
Avec Fahem Abes la Kabylie fait entendre le beau chant de ses histoires ancestrales, la musique de la langue des origines qu’il aime à entrelacer au récit qu’il nous donne en français.
Frida Morrone mêle amour et bonne chère, passion du cœur et gastronomie. En cela elle s’inscrit dans la consigne que lui inspirait la thématique du festival « Contes à croquer ».
On connaissait d’Italia Gaeta le dernier et émouvant roman qu’elle publie aux Editions Couleur Livres sous le titre de « Laide ». A Chiny, on la retrouve dans sa vocation première, celle de conteuse. Dans son Italie natale, celle du Sud, elle vient puiser les histoires qu’elle ré-invente pour nous les donner à écouter.
Jeanine Ma est une des fées de ce Festival de Chiny. Elle appartient à l’équipe des bénévoles qui assurent en amont, la bonne organisation de la manifestation.
Le Festival de Chiny doit aussi sa réputation aux balades en barque sur la Semois…du moins lorsque le niveau d’eau le permet.
On n’imagine pas un Festival du conte en Belgique sans y croiser la silhouette alerte de Marie-Claire Desmette.
Lorsque nous les avons rencontrés, l’une et l’autre ont voulu conserver le secret sur ces « signatures » qui nous racontent. Ils nous en disent tout de même un peu dans cet entretien, précédé de bribes de répétition de leur spectacle « Fleur de peau ».
Coordinateur du programme du Festival interculturel du Conte de Chiny, Marc Alexandre évoque la 22 ème édition de celui-ci. Les conteurs vous donnent rendez-vous dans la "Cité des Contes" du 8 au 10 juillet 2011.